Transmettez aux générations à venir un monde en meilleure santé.

Cette semaine, découvrons comment financer la recherche à partir d’un legs, d’une donation ou d’une assurance vie. Un épisode en compagnie de Sylvie Frémaux, Responsable du développement des libéralités à l’Institut Pasteur de Lille, et sous l’expertise juridique de Florence Graux, vice-présidente de la chambre interdépartementale des notaires du Nord.

Depuis 1898, l’Institut Pasteur de Lille est reconnu comme un centre de recherche d’utilité publique. Cela fait de lui l’un de vos potentiels légataires testamentaires pour soutenir la recherche sur les maladies du “bien vieillir”. « Le legs doit être inscrit dans le testament et prend effet au moment du décès, ce n’est donc pas un appauvrissement de son vivant. », explique la notaire.

Que votre testament soit olographe (manuscrit rédigé seul) ou authentique (rédigé par le notaire sous votre dictée), n’oubliez pas de le confier à votre notaire. « Seul le testament original fait foi donc ne le gardez pas chez vous. Ça évite qu’il se perde ou qu’il soit détruit par les personnes à qui il ne conviendrait pas le moment venu. » Rappelons ici que le testament est secret jusqu’au décès de la personne qui l’a écrit.

Sylvie Frémaux accompagne les légataires dans leur démarche testamentaire auprès de l’Institut. Elle nous éclaire sur le legs philanthropique, dont la vocation est d’aider une association reconnue d’utilité publique : « Ce leg a pour particularité d’avoir une fiscalité moins forte, ce qui permet d’aider la recherche, et par ailleurs de faire hériter un tiers tout en faisant supporter une partie des frais d’actes et des droits de succession par l’’Institut Pasteur de Lille. »

Nous profitons de cet épisode pour remercier chaleureusement celles et ceux qui soutiennent l’Institut Pasteur de Lille avec un ultime acte de générosité.

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