Récepteurs nucléaires, maladies métaboliques et cardiovasculaires

 

Université de Lille – CHU de Lille – Inserm – Institut Pasteur de Lille
Directeur : Bart Staels

Les équipes de l’UMR1011 étudient, par des approches complémentaires de biologie moléculaire et cellulaire, et par des approches (patho)physiologiques et des expertises technologiques intégrées, les mécanismes à l’origine des altérations du métabolisme des lipides et du glucose, et du système immunitaire survenant dans les conditions pathophysiologiques que sont le syndrome métabolique, la stéatohépatite non-alcoolique (NASH) et le diabète de type 2 ainsi que ses complications cardiovasculaires associées (athérosclérose, insuffisance cardiaque, valvulopathies).

Recepteurs moléculaires pasteur lille

Identifier de nouvelles cibles thérapeutiques

L’un des principaux axes de recherche est le rôle des récepteurs nucléaires comme régulateurs et cibles pharmacologiques de ces conditions physiopathologiques. La validation par des approches translationnelles de nos recherches est un objectif important, que nous menons à bien grâce à une interaction étroite avec les cliniciens de l’unité, d’EGID (Labex European Genomic Institute of Diabetes) et des collaborations (inter)nationales permettant des études sur des cohortes humaines et des biobanques (ABOS dans EGID, 2 programmes RHU, Resolve EU FP7, TOMIS/CALMOS, Leducq LEAN etc…).

L’objectif de l’unité est de transposer les résultats expérimentaux aux patients et, réciproquement, les observations cliniques vers des approches expérimentales pour générer de nouvelles hypothèses à vérifier au niveau moléculaire/cellulaire grâce notamment à des modèles animaux spécifiques.

Le but ultime est d’identifier de nouvelles cibles, des stratégies diagnostiques et thérapeutiques pour prévenir et traiter ces pathologies, avec l’ambition de maintenir la grande visibilité internationale et de rester à l’avant-garde dans ce domaine.